Le marbre griotte doit son nom à la couleur rouge sombre qui caractérise la petite cerise acidulée. Au plan géologique, c’est une roche calcaire formée pendant l’étage famennien du Dévonien supérieur où les restes de goniatites, lointains ancêtres des ammonites, se sont rapidement accumulés en masse sur de notables épaisseurs de sédiments marins. 

Carrières de marbre griotte.

 

Carrières de marbre griotte

 

Carrière de l'ermitage

 

Entre 1880 et 1890 la sociète DERVILLE de Paris, exploite les carrière de Saint-Etienne. Les blocs sont descendus au village par l'ancien chemin de Saint-Etienne. Le charroie se faisait des traineaux tirés par des boeufs, loués à une sociète de Saint-Pons. Actuellement ce sentier est balisé et sert de sentiers de randonnée vers l'ermitage.

 

Carrière de Rives

 

Le charroie des blocs se faisait par le chemin de la carrère de l'Incarnat. Une rampe de lissage est encore visible au départ de la carrière.

 

Carrière de Villebrun

 

Elle est exploitée au début de XX eme siècle par Nicolas Gauthier. Elle fut très tôt mécanisée. Dans un batiment en ruine on trouve encore les restes d'une forge et le socle d'un moteur devant entrainer un fil de sciage. Deuc blocs portent encore les initiale N.G. Le transport de blocs se faisait par Roquebrun.

 

Carrière de Bosc-Négre

 

Elle est exploitée par les frères Libes Félix et Placide. Ces derniers ont également exploité une carrière à Causse-et-Veyran. Cette dernière a été reprise par la société M.P.G, sous la direction de M. Blima, originaire de Caunes-Minervois.